Il arrive que j'oublie comment l'appartement prends une autre forme avec une certaine musique/éclairage. Meuilleur le soir, évidament. L'atmosphère victorien accompagnée d'un faux silence et/ou une tranquilité fictive temporaire -- ouverture à de nombreux souvenirs, surtout peut-être un temps malicieux de solitude (en début d'automne 2004) où j'ai habité le vide complètment seul pour la première fois. Autant que je déplore me rappeller de ces quelques mois, je suis conscient qu'il y a encore une grande lesson à en tirer. Il arrive aussi que j'oublie comment le français écrit est loin d'être mon français parlé. L'immense contraste m'inspire aucunement, c'est loin d'être naturel, chaque phrase légèrement embellie sonne prétentieuse et sans-âme. Then again, that's just my opinion, hurt and bound in my former life.