20 July 2006

ville fantôme, approx


[ voir: husk/essem et le français :: ici ] Travaux en dehors de la ville; tout gérer à distance (en plein recul) c'est exaspérant... pratiquement impossible de décrocher mais la famille/les amis prennent priorité. Des ballades dans des anciens quartiers familiers, aussi rassurant qu'inquiétant, la même vie en plus tranquille (et les souvenirs eux, grâce au temps, sont de moins en moins lourds). L'illusion d'urgence de la ville s'efface temporairement, tout est tellement moins imédiat... c'est facile de comprendre comment plusieurs se laissent bercer par le comfort -- mais c'est pas pour moi, j'ai pas fini ici malheureusement. Différentes tristesses d'un côté à l'autre, c'est pareil.